La protection de l’environnement est devenue un enjeu majeur à l’heure où l’urbanisation bat son plein. Tous les spécialistes de la question s’accordent sur la réduction de l’émission des gazs à effet de serre. Étant donné que les bâtiments constituent la première source de la perte d’énergie, il est important que les ménages soient approvisionnés en énergie de qualité.
Qu’est-ce qu’une source énergétique ?
Une source d’énergie s’entend de toutes techniques visant à générer de l’énergie, dont l’électricité. Avec l’évolution des techniques en la matière, on dispose aujourd’hui de différentes sources d’énergie. Selon les procédés d’obtention, on en distingue deux grands types. Les énergies liées aux phénomènes naturels sont appelées les énergies renouvelables. Celles qui sont extraites des matières premières sont communément appelées énergies fossiles. Pour en faire un usage adapté, vous devez connaitre les composantes de ces deux grandes familles d’énergies disponibles de nos jours.
Quelles sont les énergies fossiles ?
Les énergies fossiles sont réputées moins chères que les autres types d’énergie. Elles sont également très économiques. En voici deux exemples.
Le fioul
Utilisé depuis très longtemps et parfaitement maitrisé, c’est un produit très énergétique. Les nouvelles générations de chaudières à fioul sont extrêmement performantes et vous garantissent des économies d’énergie. Selon les expériences, vous pouvez générer 10KW/h si vous disposez d’un litre de ce liquide. Il est donc prisé pour sa puissance. Si vous désirez être approvisionné en fioul, faites appel à Adam combustible. Cette entreprise livre également du gasoil, du GNR et autres gaz sur tout le nord du Finistère.
Le nucléaire
Cette énergie fossile est produite à partir de l’uranium. C’est une des meilleures alternatives pour lutter contre la pollution. En effet avec ce type d’énergie, il n’y a pas de risque d’émission de CO2.
Quelles sont les énergies renouvelables ?
Ces énergies sont considérées comme « renouvelables » car elles ne s’épuisent pas. Ce sont des solutions naturelles disponibles à tout moment. Cependant, elles sont plus chères.
Le solaire
Cette énergie s’obtient grâce à la lumière produite par le soleil. Mais il faudra installer des panneaux photovoltaïques, ainsi qu’un régulateur et un onduleur pour pouvoir l’utiliser. L’installation d’un tel système requiert une technologie toute particulière.
L’éolien
Vous obtiendrez de l’énergie grâce à une éolienne en faisant tourner une turbine à l’aide du vent. L’alternateur du dispositif déclenche la production. Même en cas de vents faibles, vous disposerez de l’énergie nécessaire pour alimenter votre résidence.
Quelles sont les aides au renouvellement énergétiques ?
Pour limiter les pertes d’énergies, l’État exige que les bâtiments soient remis en état. Cette rénovation implique l’installation d’un système moderne et donc plus coûteux. Qu’elles soient fossiles ou renouvelables, pour profiter de ces sources d’énergie, vous devez prévoir un budget. Si vous ne disposez pas de ce budget, pour vous aider à réaliser des économies d’énergie il existe des aides de l’État. Dans le cas d’un ménage modeste, ces aides peuvent être importantes.
MaPrimeRénov
Ce programme a été lancé le 1er janvier 2020, en remplacement au CITE. C’est l’Anah qui fixe les conditions d’éligibilité à une telle subvention. L’essentiel à retenir est que seuls les propriétaires résidants peuvent y souscrire. Ils doivent également attester de revenus modestes pour pouvoir en bénéficier.
Eco-prêt à taux zéro
Les bailleurs ou les personnes vivant en copropriété peuvent solliciter ce type de prêt. Certaines sociétés peuvent également y prétendre. Il s’agit de prêts sans intérêts pour financer vos travaux de rénovation énergétique. La maison concernée doit être construite avant le 1er janvier 1990.
Réduction d’impôts Denormandie
C’est un programme qui incite les citoyens à reprendre des maisons dans certains quartiers. De tels repreneurs font l’objet d’une réduction de taxe sur les revenus. Mais les travaux à effectuer doivent atteindre le seuil de 25 % du prix d’achat du bâtiment.